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dinette magazine

L’échange de cadeau est un rituel des Fêtes qui anime bien des débats : déterminer un thème ou faire un Secret Santa personnalisé? Prioriser le regifting sensé ou imposer un budget? Avec cette folie consumériste qui nous emporte dans son sillage étourdissant, l’échange en famille ou entre amis apparaît souvent comme une dépense extra pas tellement nécessaire. Et si on en profitait plutôt pour joindre le plaisir à la responsabilité en choisissant de jouer le jeu du local? Cette année, on propose à notre famille d’apporter chacun un présent bien pensé provenant d’un artisan

C’est avec beaucoup de fierté que je vous révèle ma première collaboration avec le nouveau magazine Dînette! Je couvre dans cette 3e édition sur le thème du cocooning l’un de mes endroits fétiches du Mile End : la salon de thé Cardinal. Un espace enchanteur où le temps se fige autour de jolies tasses de thé vintage et de petits encas british : sandwich, scone, tartine, quiche et spécialités anglaises sucrées comme salées. Je vous partage un petit extrait de mon article à découvrir dans l’édition 03 de Dînette Magazine « Prendre le temps ».

Avez-vous entendu parler de Dînette? On ne parle pas ici d’un comptoir où casser la croûte, mais bien d’un tout nouveau magazine indépendant qui fait saliver. Avec une première publication lancée en décembre, une seconde en kiosque depuis le 14 janvier, et 8 autres volumes thématiques prévus en 2016, Dînette amorce une année remplie de découvertes culinaires Made in Québec. À l’aube de la sortie de leur spécial Brunch, j’ai rencontré l’un des trois co-fondateur, Mathieu Lachapelle, éditeur en chef, pour jaser vision foodie, l’ère du magazine papier et collaborations. Genèse

Alors qu’on proclamait il n’y a pas si longtemps la mort du papier, les publications indépendantes à saveur maker, esthète et intellectuelle émergent de la mêlée pour mieux galvaniser la créativité. Ces collectifs défrichent des sujets de spécialité sur le terrain de jeu papier pour produire des objets culturels « artisanaux » que dévorent les lectorats niches. On pense au Québec à Caribou en alimentation, ou à Oak Street, signé Frank & Oak, en mode, par exemple. Avec un magazine léché et profond, on s’offre du temps long qu’une séance de scrolling extrême sur les réseaux sociaux