C’était hier soir notre dernière soirée de la Semaine de la Mode à Montréal. Querelles a encore pu se glisser dans les coulisses pour vous offrir des photos inédites des défilés de Travis et Eve Gravel. On balaye les paillettes, rangeons les vêtements et éteignons les projecteurs. Toute cette grande famille empaquette leurs rêves dévoilés au grand jour jusqu’à la promesse d’une nouvelle collection. Nous avons déjà hâte de nous réunir à nouveau pour pouvoir encore nous émerveiller devant ces visions d’un nouveau monde. ≈≈≈ Article et photos : Boris
Querelles vous entrouvre encore aujourd’hui les dessous de la Semaine de la Mode à Montréal. Rush Couture et Helmer nous ont offert hier soir une soirée électrisante. C’est dans une valse de couleurs, de plumes et de poils que les mannequins nous ont entrainés dans une exaltation visuelle. Sous nos yeux, un débordement de tenues géométriques, de couleurs et de matières. Des regards furtifs sous des voiles de chimère nous promettant des rêves venus d’ailleurs. Un véritable élan nous appelant à la fièvre créatrice. Se fût une belle soirée pleine de
À chaque fois que l’on va faire un tour à Toronto (gracieuseté d’H&M cette fois-ci, qui nous conviait à leur cocktails/showroom), on se surprend à pondre un billet voyage plein de découvertes rassasiantes. Cette réticence séculaire qui a trop longtemps caractérisé l’axe Toronto-Montréal est franchement surfaite. Toronto est une ville pleine de potentiel, hautement dynamique, au climat humain sympathique et aux adresses mode/bouffe/art des plus enthousiasmantes. Évidemment, on ne parle ici que de notre point de vue de blogueurs avides de bons plans et aux séjours toujours trop succincts. Soit,
C’est toujours à reculons que l’on approche l’automne, son climat velléitaire jetant un voile maussade sur la fin de l’été. Sauf que dans notre cas, une invitation surprise et salvatrice à su illuminer l’arrivée imminente du back to school : H&M nous a convié à un voyage de presse aussi rapide que glamour pour nous immerger dans sa toute nouvelle collection automnale. Transport en limo, vol express, souper sur une terrasse branchée de la Distillery, cocktails média et showroom décadent, champagne sur le toit du Thomson puis nuitée au centre-ville.
Plus on explore Montréal en son coeur et ses quartiers périphériques, plus il devient clair que notre ville peut se targuer de posséder une culture du bon café comparable à celle de San Francisco. Cet art de vivre caféiné renforce la réciprocité de ces deux villes « bulles », de part la qualité de ses baristas et la complexité de ses torréfactions. Un nouvel exemple de ce boom de l’espresso dans notre métropole se cache rue Prince-Arthur, à l’ombre d’une rue St-Laurent éclectique et du ghetto McGill estudiantin. Dès le premier regard,
Nouvelle addition au quartier de Pointe Saint-Charles, Le Café Bloom est la preuve de sa floraison. La propriétaire Jessica Bégault avait envie de redonner à la rue Centre sa vitalité d’antan en créant un espace de rassemblement pour les gens du coin. Passionnée d’art, elle ouvre aussi ses portes aux artistes du quartier afin que les murs du café deviennent zones d’exposition, en plus d’organiser évènements et spectacles de marionettes (!). Jessica a bien réussi le pari de façonner un espace de rencontres et d’échanges, coquet grâce Smooth types, I
Revisiter l’argumentaire de la petite robe noire et son statut impératif dans toute garde-robe féminine serait vous faire lire trop de mots pour rien. On ne questionne plus sont rôle; on le vit. Et vivre sa petite robe noire, c’est aussi saisir son intemporalité par l’éphémère. Un cliché très parisien. Une perle parfumée de Guerlain au creux de la nuque. Un coup de vent qui en caresse ses plis. Une petite touche de couleur qui fait rougir les regards qui s’y posent. Et pour citer la feue Duchesse de Windsor:
Sous la chaleur caniculaire de l’été, la scène artistique montréalaise semble elle aussi somnoler un peu en vue du retour en force imposé par la rentrée culturelle de l’automne. Pour les amateurs d’art et les non-initiés, la période estivale est un bon moment pour s’aventurer au musée avant que le vent automnal ne fasse tourner les expos, et pour apprivoiser l’art actuel sous sa forme la plus divertissante. En août, Querelles vous propose de braquer vos regards sur l’artiste montréalais Michel de Broin, dont le travail à la fois comique et
Querelles s’est fait reporter le temps du festival Osheaga pour permettre à ceux loin des scènes et de la foule hyperactive de capturer l’essence de ce microcosme. Alors que l’Île Jean-Drapeau s’est transformée en véritable bulle de festivités musicales, la ville s’est faite berceau d’un tourisme jeune et électrique provenant des quatre coins de l’Amérique du Nord. Indirectement proportionnel à la quantité de francophones sur le site – devenus minoritaires pour le week-end, le nombre de crop top Urban Outfitters et de couronnes de fleurs exubérantes a monté en flèche.
Avec les années 90 qui se repointent le bout du nez sur les passerelles, de vieux morceaux ont droit à une seconde chance, comme les longues jupes en jeans à la Degrassi (lolol). J’ai déniché la mienne chez Zara, et je la vois déjà si bien s’agencer avec de grandes bottes et un énorme pull (bon, vraiment, les 14 degrés de ce matin ont tué mon moral estival et je fais des cauchemars plein de feuilles mortes). Je profite de ce look pour faire un coming out et partager un
Pendant que la blogosphère capturait les meilleurs moments du catwalk au Festival Mode & Design, Querelles s’est plutôt tourné vers le sidewalk et ses styles de rue grouillants. Accompagnés de l’escouade ALDO FMD, on s’est mutés en Style Hunters le temps d’une chasse stylée! Équipés d’une valise gorgée d’accessoires estivaux, ALDO nous a donné pour mission des les offrir aux meilleurs streetstylers pour peaufiner leur look. Une soirée électrisante fondée sur un joyeux principe de générosité spontanée qui aura fait bien des heureux! On vous présente nos looks favoris, avec
Je suis indérogeable. Le noir et blanc s’imposent à moi inlassablement, à chaque saison, me traquent jusqu’à ce que je succombe. Des teintes sans statut chromatique et perméables aux états d’esprits vestimentaire les plus manichéens. Le B&W, donc, fait office de canevas vide, un à plat prêt à tout endosser, été comme hiver, sérieuse comme festive. Et justifie surtout des achats automnaux précoces (genre le marron et le bourgogne n’ont pas encore franchi ma barrière psychologique, on est en juillet quand même). Ce pull Zara à la coupe dodue très