Même les fashionistas les plus flamboyantes ont leur petite zone de confort vestimentaire. Une bonne vieille paire de jeans moulée au corps comme une deuxième peau, un t-shirt tout doux qu’on enfile sans casse-tête, une veste confo à se jeter sur les épaules pour une touche d’éclat. Pour tout ces matins pressés où le café prend le dessus sur un look complexe, je vous partage mes « fashionssentials », des bases simple pour façonner un look chic et casual en 2 minutes top chrono! T-shirt: Wilfred (Aritzia) / Jeans: Rag and Bone

Situé  à quelques pas de la Place-des-Arts et en plein coeur du McGill ghetto, le MAI (Montréal, arts interculturels) est un centre d’exposition pluridisciplinaire qui vaut le détour. Que ce soit en danse, en théâtre, en musique ou en arts visuels, cet organisme à but non lucratif cherche à promouvoir les pratiques expérimentales et interculturelles et a pour mission d’aider les créateurs professionnels à réaliser leur vision. Ce printemps, l’artiste londonienne susan pui san lok fut sélectionnée pour y exposer une œuvre qui nous remémore un souvenir marquant de l’hiver

Le café-boutique montréalais Campanelli, en plein coeur de l’effervescente rue Notre-Dame à St-Henri, nous présente ses nouveaux arrivages pour la saison estivale 2014. Offrant des marques telles que Penfield, Brixton, Deus Ex Machina ou encore Lifetime Collective, la sélection de Campanelli se situe à mi-chemin entre le streetwear et les basics atemporels. Chaque pièce s’arrime à un lifestyle sous-jacent, celui d’un rugged hipster vivant de surf, de skate et d’eau fraîche. Le café annexé confirme le sentiment familier qui se dégage de cette boutique de quartier, qui, depuis son ouverture il y a

Quoi de mieux pour commencer une nouvelle saison que de tracer l’esquisse d’un nouveau chapitre. Pour Querelles, le printemps 2014 sonnait le glas d’une section flambant neuve 100% masculine. Le web montréalais n’est pas tout à fait inondé de blogues mode et mâle mêlant désinvolture casual et looks inspirés, pour cet homme derrière qui se cache un amour pour les belles choses, une rêverie dandy et un besoin total d’aller à l’essentiel. On connait votre routine matinale; ça ne croule pas sous les masques toniques et les longues délibérations vestimentaires.

C’est avec grand ravissement que nous avons eu la chance d’assister à la première du ballet narratif Marie-Antoinette du Houston Ballet, présenté à la salle Wilfrid Pelletier jusqu’au 12 avril. Aller au ballet, c’est un peu comme aller à l’opéra ou à un concert classique, il y a ce petit je-ne-sais-quoi d’intemporel qui nous sort de notre zone de confort, habitués comme nous sommes au zapping, « second screen effect », et autres divertissements en HD. C’est la sortie parfaite pour prendre un peu de recul sur notre façon de consommer la

Le lookbook de la nouvelle collection Conscious d’H&M fut mis en ligne pile-poil au moment où je terminais la lecture de Overdressed, bouquin fort inspirant qui retrace les aléas du fast fashion moderne, du textile au design en passant par la démesure des manufactures chinoises. Une vraie claque sur la gueule pour une fashion accro dans mon genre. Conditionnée par l’amour des belles choses et le rythme effréné avec lequel les grandes enseignes nous pondent des collections et suggèrent de nouveaux hit piece sans interlude, magasiner est devenu un quasi-work-out.

Le mois d’avril marque officiellement la transition salvatrice qu’on attendait tant. Avec les effluves de printemps qui se dégagent des parcs bouetteux et les doux rayons de soleil qui luttent contre la brise fraîche, l’envie de sortir nos accoutrements de printemps ne se fait pas attendre. Mais! Triste culture populaire et adage incrusté dans la tradition orale, on se fait répéter depuis l’enfant « qu’en avril, on ne se découvre pas d’un fil ». Tsssss. Tu pensais te rapprocher de l’été? Oh non! Garde ta doudoune pas loin, qu’on nous a constamment

J’ai toujours eu un faible pour la relocalisation de morceaux hors de leur zone sartorielle ordinaire. J’adore cette idée que la mode soit imperméable aux préconceptions, et qu’un accessoire ou une pièce désuets puisse se trouver une nouvelle fonction dans le top de la hiérarchie des tendances. On repense alors à la mode « pyjama » et nuisette – célébration du tout confort et adopté par les fashionistas qui ne se prennent pas trop au sérieux – ou encore au boyfriend jeans – ce vieux jeans troué de ton copain qui se tient

Avec le printemps qui peine à se pointer le bout du nez et le long week-end de Pâques qui approche, il devient délicieusement difficile de résister à la tentation d’une escapade à Toronto. Le week-end dernier, j’ai eu l’occasion d’explorer la métropole canadienne et y découvrir quelques lieux phare de la diffusion de l’art contemporain. Pour les amoureux de l’art ancien tout comme de l’art actuel, Toronto regorge de musées, de galeries et de centres d’artiste, qui le temps d’un weekend, enrichissent notre rapport à l’art. En effet, lorsque l’on

Querelles x Soaked in Luxury Part VII Pour clore cette collabo mode printanière, on vous présente enfin notre tunique coup de coeur de la collection printemps/été Soaked in Luxury! Simple et classique, elle peut autant devenir cette petite robe que vous enfilez rapidement pour aller rejoindre des amis autour d’un pique-nique festif au parc, ou cette robe de soirée rehaussée d’une jolie sandale. L’accessoire corail? Parfait remède à l’absence/retard de printemps. Robe: Soaked in Luxury / Collier: Jcrew / Sandales: Zara / Montre: Timex / Bracelets: Zara Retrouvez tous les points de

La pratique de l’art: Hänsel und Gretel à l’Opéra de Montréal C’est une histoire de faim. Beurre, farine, crème, œufs, café, bonbons, tartes, amandes, abricots, prunes et poires, gâteaux, lait au riz, etc. : les références au comestible ne manquent pas dans Hänsel und Gretel, conte des frères Grimm adapté en opéra par Humperdinck et présenté jusqu’au 29 mars à l’Opéra de Montréal. La faim est à la fois le moteur et le nœud de ce conte cannibale, et ne sera résolue à la toute fin que par l’intelligence d’Hänsel et

En marge de ses expositions, le Musée d’art contemporain de Montréal propose des événements artistiques qui pimentent sa riche programmation muséale. Spectacles, conférences, performances et projections vidéo s’immiscent dans cette institution, générant ainsi une expérience événementielle de l’art contemporain. Justement, deux œuvres majeures acclamées par la critique se sont installées temporairement au musée, et par leur diffusion limitée, ces créations ont pris l’allure d’un momentum culturel incontournable. En effet, l’étonnante performance Le voleur des miroirs, réalisée par Daniel Barrow, et l’œuvre prodigieuse de Christian Marclay, The Clock (vidéo continue d’une

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