L’ultime conférence où croisent le fer commerce et créativité électrisera le Montréal business du 24 au 26 mai. Encore cette année, C2 MTL ramène en son site monumental une brochette de conférenciers émérites, des activations immersives qui challengent la façon traditionnelle de réseauter, et sera l’hôte d’une soirée festive massivement anticipée. Vous êtes l’un des chanceux qui prendront part à cette conférence unique? Soyez prêt à passer un trois jours intensifs en sol innovation, et prévoyez-vous suffisamment de downtime pour booster vos bateries. On vous propose quelques adresses situées à
Do It : le titre sonne comme un slogan d’une marque de sneakers que je ne citerai pas. La page Facebook de la galerie de l’UQAM nous renseigne : « Do it implique que l’institution d’accueil, les visiteurs et les artistes invités réalisent eux-mêmes les œuvres, celles-ci étant constituées uniquement d’instructions à accomplir ». On se demande ce qui nous attend. Est-ce un encore un de ces ateliers de création manuelle antistress? Va-t-on pouvoir, comme d’ordinaire, flâner passivement entre les œuvres? Ou s’embarque-t-on sur un terrain glissant où l’on risque de finir
La fondation DHC/ART interroge le métissage et l’ambivalence culturelle avec Pièces de résistance, une exposition d’envergure consacrée au travail de Yinka Shonibares MBE, artiste pluridisciplinaire présenté dans de nombreuses foires prestigieuses comme Documenta 10 et la 52e Biennale de Venise. La recherche artistique de Yinka Shonibares MBE est intimement liée à ses origines multiples. Le travail créatif de cet artiste né à Londres de parents nigérians, et ayant vécu successivement en Angleterre et en Afrique, tourne autour des questions d’identité culturelle et ethnique, des rapports de force entre Afrique et
fuck you (2012) Il y a des ces oeuvres qui ne se vivent pas de la même façon de proche et de loin. Avec un peu de distance, on discerne un motif, une signature. Une fois le nez collé au geste de l’artiste, un univers tout autre se déploie, prend vie. C’est le cas de Ken Nicol, maître dans l’art de la précision millimétrique. Dans le monde qu’il façonne à coup de feutre et de pointe fine, tout doit être ordonné, classé et calculé selon un système graphique ou numérique
Sylvie Readman, Déclinaisons, 2006, épreuve à jet d’encre En cet automne riche en matière culturelle, la Galerie Laroche/Joncas met à l’honneur Sylvie Readman et Jana Sterbak, deux artistes canadiennes bien établies sur la scène artistique de Montréal depuis plus de vingt ans. Jusqu’au 2 novembre, la galerie convie le visiteur à explorer les valeurs métaphoriques du paysage, et le narratif timide qui prend vie entre les œuvres promet une expérience visuelle des plus enivrantes. Le plus surprenant, c’est de constater à quel point le travail de ces deux artistes se