Retour sur notre aventure à POP Montréal avec Shure Canada! Nos découvertes : John Jacob Magistery @ O Patro Vys The Sonics @Théâtre Fairmount Snack vegan chez Aux Vivres : 4631 Boul St-Laurent, Montréal Fashion POP : Brit Wacher, Emma Litvack, Laruelle, Les Incompétents, Robert Atelier, WRKDEPT On a testé le nouveau micro portatif de Shure, le MOTIV MV88, compatible avec appareil iOS Vidéo : Olivier Séguin-Leduc Merci à Shure Canada qui commandite cette série de billets pour une collaboration dans le cadre de POP Montréal.
Situé à quelques pas de la Place-des-Arts et en plein coeur du McGill ghetto, le MAI (Montréal, arts interculturels) est un centre d’exposition pluridisciplinaire qui vaut le détour. Que ce soit en danse, en théâtre, en musique ou en arts visuels, cet organisme à but non lucratif cherche à promouvoir les pratiques expérimentales et interculturelles et a pour mission d’aider les créateurs professionnels à réaliser leur vision. Ce printemps, l’artiste londonienne susan pui san lok fut sélectionnée pour y exposer une œuvre qui nous remémore un souvenir marquant de l’hiver
Entre visible et ressenti – engager le corps du spectateur Au sein de notre société actuelle où la femme doit encore à plusieurs niveaux se battre pour prendre position, plusieurs artistes actuelles traitent de la condition féminine via la représentation du corps. Il s’agit en effet d’une thématique récurrente qui a d’ailleurs fait couler beaucoup d’encre. Sans conteste, la question du corps est phare dans l’art contemporain, mais souvent l’histoire de l’art délaisse le corps, et non pas celui de l’artiste ou du représenté: elle oublie l’importance du corps du
Sylvie Readman, Déclinaisons, 2006, épreuve à jet d’encre En cet automne riche en matière culturelle, la Galerie Laroche/Joncas met à l’honneur Sylvie Readman et Jana Sterbak, deux artistes canadiennes bien établies sur la scène artistique de Montréal depuis plus de vingt ans. Jusqu’au 2 novembre, la galerie convie le visiteur à explorer les valeurs métaphoriques du paysage, et le narratif timide qui prend vie entre les œuvres promet une expérience visuelle des plus enivrantes. Le plus surprenant, c’est de constater à quel point le travail de ces deux artistes se