L’appel du plein air est quelque chose qui saute à la gorge de tout bon citadin. Une invitation au frais, à l’air qui fouette le visage, au chlorophylle qui sature nos pupilles de son vert tendre et aux sentiers irréguliers que nos jambes habituées au bitume rêvent de fouler. Mais n’est pas explorateur inné qui le souhaite. On fait plutôt partie de l’équipe de ceux qui grimacent quand on les invite à camper en pleine nature en visualisant des moustiques gros comme des oranges; ceux qui préfèrent pique-niquer au pied des Tam