L’appel du plein air est quelque chose qui saute à la gorge de tout bon citadin. Une invitation au frais, à l’air qui fouette le visage, au chlorophylle qui sature nos pupilles de son vert tendre et aux sentiers irréguliers que nos jambes habituées au bitume rêvent de fouler. Mais n’est pas explorateur inné qui le souhaite. On fait plutôt partie de l’équipe de ceux qui grimacent quand on les invite à camper en pleine nature en visualisant des moustiques gros comme des oranges; ceux qui préfèrent pique-niquer au pied des Tam
Il nous arrive tous, résidents métropolitains, d’avoir le goût pressant d’air frais et de grands espaces nature, que la ville se garde bien de nous offrir. Dans ces moments, la seule solution est de déserter le bitume vers la campagne avoisinante. L’homme urbain en nous cherche alors inconsciemment des alternatives pour allier confort et steez urbain, question d’affirmer ses souches citadines en zone verte. Le mot d’ordre: on priorise des pièces pratiques avec des pointes de raffinement, comme un pull à col roulé qui nous garde au chaud dans ces